Le liège dans l’art moderne


Le liège dans l'art moderne

Le liège dans l’art moderne. Dans l’art moderne, le liège joue un rôle de plus en plus important. Les bouchons de vin ordinaires peuvent également devenir une œuvre d’art avec de bonnes mains. L’un des artistes contemporains utilisant ce matériau écologique est Daniel Kubini, né en Tchécoslovaquie en 1983. De spectaculaires portraits en liège grand format sont créés avec des bouchons de vin.

Dans son studio de la Wasserfeldstrasse, il a donné un exemple particulier et sa première œuvre majeure : Freddy Mercury, ex-chanteur du groupe « Queen ». Avec 330 heures de travail et près de 12 000 bouchons, il réalise une peinture grand format. Son autre œuvre est un globe d’un diamètre de 160 cm et d’une hauteur de 2 mètres, que l’artiste a créé en 2 ans, et environ 17 000 bouchons.


Le liège dans l'art moderne

Le liège dans l’art moderne. Dans une autre partie de l’Europe vit l’Albanais Saimir Strati, dont la renommée a fait écho dans le monde entier. Il est répertorié dans le Livre Guinness des Records avec six de ses mosaïques géantes. Strati a appliqué sa mosaïque de liège sur la façade de l’hôtel Sheraton à Tirana en 27 jours de travail intensif : 229 764 bouchons, répartis sur une superficie de 91,87 mètres carrés. Il a établi un nouveau record du monde pour la plus grande mosaïque de liège.

Des œuvres encore plus spectaculaires sont celles d’Alexandre Farto, également connu sous le nom de Vhils. Ses immenses œuvres se veulent un élément du paysage urbain. Connu pour ses portraits sculptés dans les murs des bâtiments du monde entier, l’artiste portugais Vhils a récemment expérimenté le liège et créé une scène gigantesque, presque frisonne, de visages, de mots et de motifs appelée Contraste.


Le liège dans l'art moderne

Les éléments de l’œuvre diffèrent en profondeur, ce qui la fait onduler au fur et à mesure que les yeux bougent, comme si les fragments parvenaient au spectateur. Les visages sont rendus dans une densité tachetée, presque pixelisée, apparaissent clairs sous certains angles et disparaissent complètement des autres.

Le contraste est grand, complexe, bruyant et fluctue quelle que soit la façon dont nous le regardons. L’œuvre est désormais visible à Covilhã, au Portugal, dans le centre de données de Portugal Telecom.


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